C’est ici un coach sportif qui parle, mais je pense qu’un coach en entreprise peut se poser les mêmes questions et méditer avec profit sur les réponses – sérieuses ou humoristiques – qu’il y apporterait : « Je considère qu’il n’y a pas de bons coaches, cela impliquerait qu’il y en ait de mauvais. Non, il y a de bons et de moins bons joueurs. A charge au coach de rendre meilleur celui qui l’est moins, ce qui implique des dizaines de paramètres à harmoniser. » Lire la suite de l’article sur : www.welovetennis.fr
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